VITRIOl…NITRO….VENINS…
DES COURAGEUX
LES CHOUCHOUS
LIENS
SERVICES
Catégories
- Actualité (594)
- ART IMMONDE (6)
- BERENICE (1)
- BRIDGET and CHRIS (5)
- CAFARDS (5)
- CASE DEPART (20)
- COLERES NOIRES (11)
- Comme ça …… (35)
- coups de gueule (316)
- COVID, masques et autres vaccins (2)
- CULTURE (264)
- DD (3)
- Europe de mes couilles (54)
- Forums , BR, communautés et autres CONNERIES (12)
- French Graffitis (1)
- GAZA (5)
- Guerre en Syrie (18)
- Histoire des religions (32)
- HOLLANDE (124)
- humour (178)
- INDIANA CHRIS (21)
- JE VOUS EMMENE… (1)
- L' ALPHABET (1 051)
- L' ARCHE DE OB (40)
- L' ARCHE DE WéPé (8)
- L' HISTOIRE DES BLOGS (26)
- LA CLASSE DE Melle DENISARD (20)
- LA GRANDE AVENTURE (30)
- LA GRANDE CHTOUILLE (2)
- LA SAGA DES COUCOUS (73)
- La saga des monzamigrés (7)
- LA SOUCOUPE DE MIEL (4)
- LAMPEDUSA…la démence …. (53)
- LE CHARTER DE NOE (12)
- Le CHRISSIANISME (46)
- LES ALPHABETIENS (15)
- Liberté Egalité Fraternité (2)
- Littérature (50)
- MARIENCULAGE (1)
- OVER MARRE (12)
- PAQUES 2010 (4)
- Politique (443)
- PPPPutains de religions (102)
- QUI , RIDO IO ….. (8)
- Religion (143)
- SARKO CHRIST (2)
- satire (434)
- SEMITES, ANTISEMITES, MITES (2)
- Société (482)
- SOCIETISME AIGU (82)
- Spécial VALLS (9)
- UKRAINE (10)
- VOMI (3)
- VOYAGE DANS L' AU – DELA (26)
Mieux vaut lire que dire des conneries …
Cette entrée, publiée dans GAZA, est taguée 1948, Balfour, conflit israélo palestinien, foyer juif, Gaza. Bookmarquez ce permalien.
oui, mais parfois vaut mieux ne rien dire et na pas lire las conneries….
n’est ce pas..
bisou la belle et bonne nuit
Si personne ne dit rien , on est foutus !!…et nos descendants plus encore !!!
Pour comprendre l’arnaque de « la terre promise » , il faut lire ce document de Freeman qui explique en détail les accords Balfour :
Ces fumiers de sionistes ont fait prolonger la guerre de 1914 de 2 ans , et oui , l’Angleterre et la France l’on perdue en 1916 ! sans les amerlocs , c’était cuit !
» Discours donné en 1961 par Benjamin H. Freedman au nom d’un magazine de l’époque Common Sens à l’hôtel Willard de Washington DC. Benjamin Freedman est né en 1890 de parents juifs. Il devint un homme d’affaire new-yorkais réputé au point d’être le principal propriétaire de la Woodbury Soap Company. Il rompit avec le sionisme international à la fin de la deuxième guerre mondiale, puis passant la restant de sa vie à exposer les faits de l’influence sioniste en Amérique ; dépensant pour cela plus de $ 2.5 millions de sa propre poche. Mr Freedman ’’savait’’ dans le vrais sens du terme, car ayant évolué dans les plus grandes sphère de l’état et de la politique. Il fut d’ailleurs très familier avec Bernard Baruch, Samuel Untermeyer, Woodrow Wilson, Franklin Roosevelt, Joseph Kennedy et John F. Kennedy, ainsi que de nombreux autres figures marquantes de son temps. »
ICI :
http://www.iamthewitness.com/audio/Benjamin.H.Freedman/1961.Discours.Hotel.Willard.htm
Evident , Watson !!!…au passage , quel plaisir de te revoir , Martien !!
..ça doit etre pour ça qu’ en 2014 aucun livre d’ histoire de lycée n’ est foutu d’ expliquer clairement la période 1914 – 1948 !!!…ça tombe bien , les profs n’ ont jamais le temps de finir le programme !!
Remarque , la « terre promise » des » when the saints » était pas mal comme arnaque aussi …sauf qu’ à l’ époque , y avait pas de droidlomme ni d’ ONU !!
Il y a des merveilles chez Thierry Messan, autant de lui-même que chez ses collaborateurs. Mais dès que l’on parle d’eux, c’est de suite le nouveau satan portant moustache. et il est vite rejeté.
Ah bon ????…moa , sans Polemia , je serais une idiote !!!
Bein écoute , si Satan est comme ça , j’ en ferais presque mon dieu !!!
N’oublions pas non plus qu’en 48 les Etats-Unis ont mis une
pression terrible sur la France pour qu’elle se décide à laisser
faire alors qu’évidemment nous savions très bien ce qui se
cachait derrière l’opération. Probablement, si de Gaulle était
resté au pouvoir nous n’aurions jamais trempé dans la combine.
Hélas, la Quatrième République des Cocos, des Socialos et
des Humanitaro-Centristes manquait du minimum de couilles
nécessaire pour jouer le rôle qui aurait dû nous incomber.
Grozibous.