J’ai vu cette image et, fulgurée comme Saülsaintpaul, j’ai pas résisté ..
Car voilà exactement ce que je ressens depuis mes 16 ans, quand, propulsée en Fac de Médecine, j’eus à affronter pour la première fois, la galaxie masculine ..
Outre à être une trôlée de p’tits fils à papa gâtés exemptés de service militaire par intervention de » saints au Paradis « , je n’eus à faire qu’à des « très futurs médecins » méprisants imbus de leur personne ( mébon, c’est la profession de grand sorcier /chef du village qui veut ça …mais en Fac de Droit, c’était la même chose sinon pire ) mais pas du tout à des hommes ( mecs, masculins, quoi .. )
68 était passé par là, ces p’tits cons prenaient les filles ( mignonnes ou très moches, kif, kif.. ) pour des « vieux copains de chambrée » bien qu’ils n’eussent que très peu connu les chambrées de soldats …chose déjà dévirilisante à souhait ..
» Copains », disait – on alors, sans remarquer que certains portaient des pantalons et d’autres des jupes / talons auguilles …..une bonne claque sur l’ épaule…allez, hue ! …on y va ( au plumard) comme pour déguster une bonne glace à la fraise en jetant le cône …
Et ces connes de françaises ( toutes mes copines de l’ époque, y compris ma sœur )de tomber à toute vitesse dans le panneau et de s’enfoncer avec une délectation revancharde dans le creuset tout prêt du féminisme, de rivaliser de bravoure estudiantine avec ces sales cons, de devenir des sortes de gouines / repoussoirs, des grenadiers en jupes, des déménageurs / queue de cheval liée par un élastique de pot à confiture, caps de te foutre un coup de poing si tu leur demandes l’ heure …
C’est ainsi que je m’exilai en Italie, le Paradis des FEMMES femelles où les mecs ne te laissent pas traîner ton énorme valise ni leur payer un pot et où baiser n’est pas un jeujeu concon d’adolescents attardés …
À SUIVRE
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